Cet état situé sur la côte Est des Etats-Unis est historiquement une région assez riche car industrielle. En effet c’est ici que l’on trouve de nombreuses usines automobiles, une industrie aéronautique omniprésente ce qui explique la présence d’un traffic routier important. Une région industrielle qui est également un point de passage entre le nord et le sud de la côte Est.
Un road trip américain, sur les routes de Caroline du Nord
Des friches industrielles qui bordent les routes témoignent d’ailleurs du passé industriel de la Caroline du Nord.
Le climat tempéré situé sous régime océanique à toujours permis la pratique de l’agriculture. Les champs de maïs y sont donc légions. Mais ces grandes plaines côtières toujours très vertea même en plein été sont également recouvertes de frandes forêts de pins et de chênes.
Dans cette partie du territoire américain le climat électoral, est généralement assez favorable aux conservateurs. Néanmoins il est considéré comme étant un « swing state ».
Un état particulier
De tout temps la Caroline du Nord a été une terre de predilection pour les migrations intérieures. De nombreux américains fuient en effet les grandes villes pour vivre sur un territoire où le coût de la vie et la criminalité sont nettement moins élevées. Chigago, Duran, Washington, New York, Charlotte, ces grandes villes américaines voient chaque année quelques uns de leurs habitants partir pour la Caroline du Nord. Sur le territoire cela se traduit par la création de très nombreux lotissements.
Un état plus propice à une existance paisible. Il faut reconnaître aussi que cet état est moins concerné par les ouragans comparé à la Floride, au Texas, à l’Alabama, au Mississipi ou à la Caroline du Sud.
Willmington, une étape sur les routes de la Caroline du Nord
Cette grande ville côtière est une ville typiquement américaine. Très étendue, avec peu de transport en commun. Ici la norme c’est le déplacement en voiture sur de larges et interminables avenues.
Carolina Beach
Pour ceux qui veulent profiter des plages une bonne demi-heure de voiture est nécessaire. Un mal pour un bien, cela préserve peut-être un peu les magnifiques plages de sable blanc. D’ailleurs côté fréquentation il n’est pas rare d’y croiser des New-Yorkains signe indéniable d’une certaine