
Lorsque l’on voyage en Suisse, il y a forcément un élément qui retient toute notre attention. Les petits ou les grands chalets en bois nous fascinent. Ils représentent dans la réalité une image d’Épinal et nous replongent dans les contes de notre enfance.
Les chalets en Bois de Brienz

Ils sont beau, ils représentent la Suisse et ont les retrouve sur quasiment tout le territoire suisse. Le bois raconte l’histoire de ces lieux confrontés à des hivers rudes mais il est également la promesse d’un intérieur douillet et chaleureux.

Les chalets les uns à côté des autres dans le centre de Brienz, nous rappellent l’histoire de la Suisse. C’est aussi le marqueur architectural de la montagne. Construits en pin, ils résistent aux frimas de l’hiver. Le neige, le vent ne semblent pas avoir de prise sur eux. Et pourtant, ce matériau doit être entretenu, traité et chouchouté, sous peine de se dégrader très vite.

Même s’ils font entièrement partie du folklore, les chalets sont de véritables lieux d’habitation. Avec le temps les suisses ont privilégié la construction de bâtiments plus classique. Néanmoins sur le temps long, les chalets se révèlent plus économiques et plus durables. Ils sont définitivement mieux adaptés à la neige et aux intempéries.

Chalets des montagnes, Grindelwald

Au bord de la nuit, les chalets sont d’un réconfort certain pour les touristes comme pour les locaux. On sait que ces habitations séculaires sont particulièrement bien adaptés aux températures de la montagne. Les chalets rassurent et incarne la nature. C’est contradictoire mais cela est peut-être dû au fait qu’ils sont construit en bois.

Meiringen

Les chalets suisses sont un joyau architectural suisse. Ils donnent une réelle plus-value au paysage. Même en nombre ils s’intègrent parfaitement au décors. L’harmonie et l’humilité face à la nature n’est que trop important. Malheureusement aujourd’hui l’architecture n’est plus au service de ses habitants. Elle est parfois politique, elle est également un moyen pour les architectes de se faire remarquer. En ville ce n’est pas absolument pas gênant mais en pleine nature cela peut avoir des conséquences plus ennuyeuses. Chacun se fera sa propre opinion.