Le tour d’Europe des hooligans

Les hooligans les plus violents
Les hooligans les plus violents

Les supporters les plus violents d’Europe.

Le point commun des hooligans c’est avant tout l’alcool.
Ensuite partent provocations et insultes.

Hooliganisme les règles du jeu:

Les vrais hooligans eux se donnent rendez-vous entre eux, un peu à la manière d’un fight club. Ils ne boivent pas ou très peu, car ils préfèrent rester en pleine possession de leur moyen!

« Dans le monde des hooligans, se faire des anglais ça reste un trophée de guerre. » Mathieu Zagrodski

– les serbes

Les serbes n’ont pas été qualifiés pour l’euro 2016! C’est déjà ça de moins à gérer pour les autorités locales.

Étoile rouge de Belgrade dont les « déliés » et le partisan de Belgrade « grobari ».

Des violences sont effectués dans les stades et à l’extérieur des stades.
Des vidéos montrent d’ailleurs des bagarres générales…

– les anglais

C’est en Angleterre qu’est né le hooliganisme. Les groupuscules les plus violents étaient les « supporters » de Chelsea dans les années 80.

Le look du hooligan anglais, c’est le maillot blanc de l’équipe nationale, une pinte de bière à la main et bien-sûr un peut de ventre.

Les hooligans anglais ne sont plus ce qu’ils étaient. Généralement les hooligans anglais sont des supporters des équipes de 2 ème, 3 ème et 4 ème division, car ces équipes ne sont pas sur le devant de la scène et donc moins surveillées par la police anglaise.

– les russes

On ne plaisante pas avec les russes. Super entraînés, hyper sportifs, ils sont d’ailleurs facilement reconnaissables avec leur mini short, leur banane et leur tee-shirt « Russian Army »…

– les polonais

Un look similaire aux russes ils sont également très violents. Leur détermination n’a d’ailleurs rien à envier à celle des russes.

Ils sont organisé en petits groupes très mobiles et ultra-violents.

– les hollandais et les belges

Les flamands ne sont pas en reste il faut se méfier de ces groupuscules de hooligans, élevés « à la sauce anglaise ».

– les grecs

Entre l’Olympiakos, le Panathenaikos et PAOK Salonique.

Ce sont tous des « supporters » ultra mobilisés qui sont même prêts à aller soutenir l’équipe féminine de ping pong qu’elle porte porte le nom de leur club!

– les turques

Galatasaraï, Fenerbatche, Bexistas.

Une ambiance très très chaude, lors du championnat d’Europe les supporters du reste de l’Europe sont reçus toujours assez chaudement.

Pour rappel, lors d’un match amical contre la Grèce, le 17 novembre 2015, les supporters turcs avaient refusé de respecter la minute de silence pour les attentats du 13 novembre. Ils est certains que ce fait de « guerre » des « supporters » turcs risque de rester longtemps un point de discorde dans le monde du football.

– les croates

Les bad blue boys de Zagreb, supporters du Dinamo Zagreb.

Ils utilisent des techniques dignent de la guérilla urbaine. Couteaux, cocktail molotov, matraques…

La règle du jeu est simple, lorsqu’une de ces équipes nationales jouent un match qu’il soit « amical » ou officiel…

À travers le hooliganisme c’est surtout les
conflits et les tensions entre les pays qui apparaissent au grand jour.