Les photos de Barcelone en noir et blanc
Une grande ville espagnole qui donne sur la mer Méditerrannée, c’est sans doute cela le secret de la ville de Barcelone. Et c’est ce qui donne à la ville toute sa valeur. Mais quid de la qualité des eaux de baignade? Ici personne ne semble s’en soucier, on vit dans le présent et on croque la vie à pleines dents. Ici ceux qui anticipent, ceux qui prévoient ou qui s’économisent ont déjà perdu.
A Barcelone on se couche tard, on boit et on fume. Et le premier qui met le pied sur le frein est immédiatement exclu et classé dans la catégorie des ringards. Barcelone est solaire et Barcelone ne donne jamais de deuxième chance.
Barcelone est une fête où l’on vit sans compter. Et c’est en suivant le flot de la ville que l’on réussi à s’intégrer.
Le génie barcelonais
Le génie à Barcelone, c’est Antoni Gaudi. Un catalan qui est né en le 25 juin 1852 dans le sud de cette région du nord-est de l’Espagne. Un architecte, né à Reus et qui deviendra à Barcelone celui qui a ouvert la voie de la déconstruction.
Le classicime oublié
C’est en observant la cathédrale gothique de Barcelone que l’on comprend mieux l’oeuvre de Gaudi. La Sagrada Familia est une sorte d’évolution de la cathédrale catalane sage et classique.
Perspective barcelonaise
Ici dans le nord de l’Espagne la vie semble être si facile que les habitants essayent de créer des problèmes. La Catalogne est d’ailleurs avec Madrid, la région la plus riche d’Espagne. Et pour s’inventer une vie trépidante, rien ne vaut les luttes et la souffrance. Alors Barcelone se cherche un destin de capitale européenne tandis que les catalans se battent pour leur indépendance. Ici on innove entre l’anarchie, la lutte pour l’indépendance et la chasse aux touristes. Barcelone qui après avoir fondé son développement sur l’économie du tourisme ne veut plus de touristes.
D’ailleurs à Barcelone il n’y a pas grand chose à voir, Barcelone est une ville qui est faite pour y vivre. Ce n’est pas vraiment une ville qui est faite pour être visitée. Barcelone c’est avant tout de belles opportunités de travail alors que le chomage et la pauvreté mine une bonne partie du sud de l’Espagne. Et puis ici on fait en sorte que la prostitution et la drogue soit légalisée. Pour la drogue il y a eu la création des « social club ». Des espèces d’associations où les membres peuvent cultiver le canabis et consommer l’herbe qui a été récoltée. En pratique les consomateurs payent et reçoivent de temps en temps leur dose. On peut consommer à la maison et se promener dans la rue avec de faibles doses, ce qui temps à prouver qu’il s’agit d’une dose our une consommation personnelle.
Pour la prostitution il est interdit de racoller dans la rue. La prostitution n’est également pas légale en Espagne, mais une personne qui s’adonne à la prostitution volontairement ne commet aucun délit. Le proxénétisme est interdit mais tout ce déroule dans des clubs privés. Les maisons closes sont légales et on en compterait près de 1400 dans le pays. Barcelone l’une des villes les plus riches d’Espagne n’échappe pas à la règle. Généralement les maisons closes ont une licence spécifique. Mais dans la pratique, des femmes de toute l’Europe et parfois originaire d’Amérique Latine se retrouvent dans la prostitution. Néanmoins la mairie de Barcelone très progressiste semble avancer sur le sujet et milite désormais pour l’abolition de la prostitution en Catalogne mais aussi sur tout le territoire ibérique.
Malgré des prises de positions de la mairie et une présence policière pour empêcher le racollage sur la voie publique on peut observer encore à Barcelone une prostitution de rue. Celle-ci s’exerce dans la rue d’en Quintana, dans le quartier gothique de Barcelone. En effet le quartier de Ciutat Vella est un haut lieu du tourisme qui se trouve à deux pas des Rambla.