A la découverte de l’une des villes symboles d’Amérique latine
Lorsque je voyage, je m’interroge souvent sur l’intérêt de visiter tel ou tel pays.
Ne serai-je pas déçu par un pays culturellement trop proche du mien? Les paysages de notre belle planète terre seront-ils vraiment si différents de ceux de la France?
Je me rappelle souvent de la déception d’amis russes qui étaient partis visiter les grandes espaces du Canada pour ensuite se rendre compte qu’ils avaient eu l’impression de voyager en Sibérie.
« Dès l’aéroport j’ai senti le choc »
C’est à Paris que je senti la ferveur Argentine. Alors que je présentais mon passeport au contrôle des frontières de l’aéroport Charles de Gaulle, le visage du policier s’illumina subitement pour me dire que Buenos Aires est une ville géniale et qu’il revenait d’un voyage en Argentine qui l’avait complètement renversé. Le voyage commençait bien, j’avais donc choisi « la bonne destination ».
Destination Buenos Aires
En arrivant à Buenos Aires au mois de janvier il fait 30 degrés, il n’y a aucun doute, tout ce que l’on m’a raconté à l’école primaire sur les étés inversés entre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud est donc vrai…
« Culturellement » parlant j’arrive en pleine dévaluation du dollar argentin.
La tradition de la planche à billet est donc respectée. Bolivar, sucre, sol, real, les 16 monnaies d’Amérique du Sud sont connues pour être des monnaies qui connaissent la dévaluation…
C’est dans ce contexte que je débutais la découverte de Buenos Aires.
Un mélange parfait de villes espagnoles et italiennes, avec la nonchalance méditerranéenne grecque.
La ville en images
Crédits photos: Escale de nuit – Yann