UN NOUVEAU CRASH AÉRIEN EN RUSSIE, LE PDG DE TOTAL DÉCÉDE

Le PDG de Total, la compagnie pétrolière française, disparaît lors d’un crash aérien.

Christophe de Margerie est décédé à l’âge de 63 ans lors du crash de son avion en Russie sur l’aéroport moscovite de Vnukogo 3.

Dans la nuit du 20 au 21 octobre le jet de Christophe de Margerie s’est écrasé lors du décollage.

Des circonstances troublantes

Le jet privé dans lequel se trouvait Christophe de Margerie est entré en collision au moment du décollage avec une déneigeuse!
Le jet privé, un Falcon 50 a percuté un déneigeuse conduit par un homme qui aurait été ivre lors des faits – ce fait a été démenti depuis.

Les faits

Le crash a eu lieu à 23h57 provocant la mort de la totalité de ses occupants.

Comme d’habitude pour atténuer un peu les responsabilités de l’aéroport russe, les autorités évoque une faible visibilité lors du décollage (350 mètres…)

Christophe de Magerie revenait d’une réunion avec Dmitri Medvedev consacrée aux investissements étrangers dans le pays.

Le conducteur de la déneigeuse n’est pas mort… Cet accident est d’autant plus troublant qu’il s’est produit sur l’aéroport présidentiel de Vnukogo où le personnel est trié sur le volet.

Autre point inquiétant, le conducteur était ivre lors des faits selon lors des premières déclarations des autorités russes.

S’agit-il d’un acte délibéré ou d’un accident?

Certains évoquent une négligence criminelle.
D’autres pensent qu’il s’agit d’un malheureux accident.

Pour rappel : Total participe en un projet pharaonique nommé Stockman ou Yamal.
Quelques milliards d’euros pour la construction d’un gazoduc au Nord de Mourmansk.

Le climat des affaires en Russie a toujours été  très délicat.
Voilà comment est traité un dirigeant d’un très important groupe pétrolier français. On ne vérifie même pas que la piste est libre avant le décollage.
Voilà comment est traité l’investissement étranger en Russie par les autorités russes…

S’agit-il d’un coup de pression sur le Groupe Total dans un climat tendu ou règnent les sanctions économiques et les guerres d’influences pour le contrôle des projets gaziers?

À suivre.

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